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Les informations de plus en plus persistantes font état de la préparation d’un coup d’État militaire dans le pays, suscitant une profonde inquiétude au sein de la population.
Des rassemblements spontanés
Le tumulte a débuté avec des rassemblements spontanés dans les rues de Ouagadougou, mobilisant les partisans du capitaine Ibrahim Traoré.
À travers des vidéos largement diffusées sur internet, ces fervents soutiens du régime en place affirment que des soldats dissidents fomentent un complot visant à renverser la transition en cours au Burkina Faso.
En un temps record, plusieurs milliers de personnes se sont massées dans les rues de la ville, déterminées à s’opposer à toute tentative de déstabilisation de la nation.
Actuellement, la confusion règne dans la ville, tandis que les partisans du capitaine Ibrahim Traoré continuent de se mobiliser. Jusqu’à présent, aucune réaction officielle n’a été émise par les autorités concernant la situation qui prévaut dans le pays.
Il est important de noter que ces nouvelles tensions surviennent à peine 24 heures après la publication d’un article par Jeune Afrique, mentionnant des tensions au sein de l’armée burkinabé
Il est important de noter que ces nouvelles tensions surviennent à peine 24 heures après la publication d’un article par Jeune Afrique, mentionnant des tensions au sein de l’armée burkinabé, notamment au camp Ouédraogo où des rafales de tirs d’armes automatiques ont été entendues lors de la matinée du dimanche 24 septembre 2023.
Dans cet article, le média français évoquait également des mouvements d’humeur au sein du camp militaire de Sangoulé Lamizana, un autre camp important de la capitale, ainsi que celui des Forces spéciales à Kamboinsin.
En réponse à ces révélations, les autorités burkinabés avaient vivement dénoncé des rumeurs infondées et annoncé la suspension de « tous les supports de diffusion » de Jeune Afrique.
Recemment, dans un communiqué plublié fin aout, le gouvernement par le biais de communiqué avait alerté sur des manœuvres suspect d’individus étrangers, avec la complicité de certains nationaux, dans un objectif de déstabilisation de la transition. La situation demeure encore tendue dans le pays.
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