La jalousie maladive qu’expriment certaines femmes peut conduire en prison, surtout quand il s’agit des relations intimes imaginaires.
C’est le cas de DRN qui accusait son concubin d’entretenir des relations sexuelles avec dame FS.
Selon les faits rapportés, par la Plateforme de Lutte Contre la Cybercriminalité (PLCC) de la Police Nationale, DRN envoyait régulièrement des messages au contenu indécent à FS lui attribuant une relation extraconjugale avec l’une de ses connaissances.
Elle ne se reproche rien et ne donne pas de suite aux messages. Courant novembre, elle reçoit du même numéro un dernier message, stipulant qu’elle faisait objet d’une publication sur les réseaux sociaux.
FS reçoit de ses contacts, des captures d’écran du profil auteur de ces allégations, dans lesquelles est affichée son image, ainsi que ses numéros de téléphones.
Il s’agit du profil de DRN. Sur ces publications, FS est accusée d’entretenir une liaison avec le concubin de cette dernière. Pour l’image salie et le préjudice moral subi, FS saisie d’une plainte la PLCC.
Les investigations menées par la PLCC conduisent à l’interpellation de DRN et son compagnon GBZC.
Ils sont tous deux respectivement soumis à un interrogatoire. GBZC affirme n’entretenir qu’une relation strictement amicale et professionnelle avec FS. Il avoue être au courant des agissements de sa compagne sur la toile. Quant à DRN, elle aurait déclaré être l’auteur des messages reçus par FS et des publications exposant et injuriant celle-ci sur internet.
À la question de savoir quelles étaient les preuves en sa possession concernant une probable relation entre FS et GBZC, elle aurait confié n’en posséder aucune. Suspectée d’« atteinte à l’image, diffamation et injures au moyen d’un système d’information », DRN a été conduite au parquet pour répondre de son acte.
AVEC KOACI
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