C’est une histoire sordide qui oscille entre sexe, pouvoir et assassinat. C’est une histoire cachée que vous n’allez trouver nulle part.
06 février 1980, le Président Ahmadou Ahidjo du Cameroun se rend discrètement à Ngaoundéré pour accueillir dans le secret loin de tous les regards René Journiac, grand conseiller pour les questions africaines du président français Valéry Giscard d’Estaing.
Ahmadou Ahidjo aperçoit l’avion qui transporte Journiac au loin ; il se rend sur le tarmac afin de suivre les manœuvres d’approche de l’avion. Subitement, on entend un bruit énorme semblable à une grosse explosion ; une épaisse couche de fumée noire se forme et l’avion disparaît.
La suite est sordide et c’est Bokassa lui-même qui la raconte des années après. A la chute de Bokassa, avec la complicité de René Journiac, Valéry Giscard d’Estaing fait venir l’épouse de Bokassa en France ; avec qui il entretient dans le secret des relations charnelles.
En réalité l’affaire durait depuis bien longtemps ; deux mois avant d’être évincé de la Centrafrique, Bokassa avait envoyé Catherine chez son ami Giscard. René Journiac était chargé de prendre Catherine pour l’emmener à l’Elysée régulièrement afin que Valéry Giscard d’Estaing assouvisse ses fantasmes.
Pour éviter d’éveiller des soupçons, les deux amants maléfiques vont décider de se voir plus régulièrement dans le château de Bokassa à Hardricourt en France. Valéry Giscard d’Estaing y venait alors discrètement et descendait dans le jardin avec son hélicoptère. Bokassa lui-même raconta : “À Kigali, en mai 1979, Giscard d’Estaing m’avait demandé d’envoyer mon épouse Catherine en France. […] Mon épouse est devenue et est la maîtresse de Giscard d’Estaing.”
Le plus grave, Valéry Giscard d’Estaing aurait même engrossé Catherine. Un certificat médical rédigé par un médecin proche de l’Elysée montre bien que Giscard avait fait avorter l’impératrice Catherine après l’avoir engrossée. Catherine, elle-même racontera tout à son mari Bokassa avant de lui demander pardon.
Dans une interview vidéo censurée et interdite en France, Bokassa affirmait : « Il venait chez moi tout le temps, en privé, connaissait toute ma famille, déjeunait avec moi… » et pourtant poursuit-il, « c’est lui qui enlèvera ma femme et couchera avec elle jusqu’à l’enceinter… la Centrafrique appartenait à D’Estaing, c’était sa maison et moi j’étais comme sa femme. Je n’étais pas un ami, j’étais le gardien ».
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