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Il y'a 1 semaineon
Le président Alassane Ouattara, a regagné Abidjan, hier
Le président Alassane Ouattara est rentré à Abidjan dans la nuit du mardi 12 novembre 2024, après une absence de près de deux semaines.
Parti depuis le 1er novembre pour un séjour privé en France, le chef de l’État ivoirien a regagné la capitale économique du pays où un accueil chaleureux lui a été réservé à l’aéroport Félix Houphouët-Boigny.
Une forte délégation à son accueil
À sa descente d’avion, Alassane Ouattara a été accueilli par le Premier ministre Robert Beugré Mambé, accompagné de plusieurs membres éminents du gouvernement, dont le ministre de la Défense Téné Birahima Ouattara, également frère cadet du président, le ministre de l’Intérieur Vagondo Diomandé et la ministre de l’Économie Nialé Kaba.
Fidèle Sarassoro, son directeur de cabinet et Masséré Koné, sa nièce et secrétaire général de la Présidence était également présent à l’accueil du chef de l’Etat ivoirien.
Ce déplacement privé à Paris, le septième pour l’année 2024, s’inscrit dans le cadre de contrôles médicaux réguliers, selon des sources proches de la présidence et du parti au pouvoir
Ce déplacement privé à Paris, le septième pour l’année 2024, s’inscrit dans le cadre de contrôles médicaux réguliers, selon des sources proches de la présidence et du parti au pouvoir, le Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP).
Bien que son séjour ait principalement revêtu un caractère privé, le président Ouattara aurait profité de son passage en France pour participer à quelques rencontres et dîners avec des figures politiques parisienne.
Des sujets chauds
Parmi ces voyages à l’étranger, seuls deux ont été effectués dans un cadre strictement officiel. Ce retour intervient à un moment où le gouvernement intensifie ses préparatifs en vue des élections présidentielles prévues dans le pays dans quelque 11 mois.
Le chef de l’Etat ivoirien, est en effet attendu sur plusieurs sujets chauds de l’actualité ivoirienne, notamment la question de sa candidature ou non à la présidentielle de 2025, l’ouverture d’un dialogue politique réclamé par l’opposition et certaines institutions internationales ainsi que l’épineuse question de l’exclusion de plusieurs acteurs majeurs de la vie politique ivoirienne, du processus électoral en cours, parmi lesquels, son prédécesseur et éternel rival, Laurent Gbagbo.
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