Le cas de Balthazar Engonga a attiré l’attention internationale suite à la diffusion de vidéos compromettantes sur Internet. Selon la décision de la Cour suprême de Guinée équatoriale, Balthazar a été acquitté de toute faute, car toutes les femmes impliquées dans les vidéos étaient des adultes consentantes. Des tests médicaux ont également confirmé qu’il n’avait pas transmis de maladies s£xueIIement transmissibles à ces femmes.
Le tribunal a souligné que plusieurs hommes mariés, dont les épouses apparaissaient dans les vidéos, ont exprimé leur gratitude envers Balthazar, car ces vidéos leur ont permis de découvrir des aspects de la vie de couple qu’ils ignoraient. En conséquence, plusieurs d’entre eux ont choisi de divorcer.
Balthazar a réagi en annonçant son intention de poursuivre en justice les responsables de la diffusion des vidéos. Il a dénoncé une violation de sa vie privée et a exprimé la souffrance infligée à sa famille, notamment à sa femme, en raison de cette exposition publique.
Ce cas met en lumière les questions de consentement, de vie privée et de responsabilité dans le partage de contenu intime sur Internet, ainsi que les conséquences sociales et personnelles qui en découlent.
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