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Affaire match truqué : Radiation à vie, Samuel Eto’o dans de mals draps, une convocation à comparaître de la CAF remis au président de la Fecafoot

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C’est pendant qu’il se préparait à faire ses adieux à son père, que le président de la Fécafoot a reçu une note de la CAF pour venir expliquer devant la Cour, les faits qui lui sont reprochés.

Ces informations ont été données par Constant Omari, ancien président intérimaire de la CAF dans une récente sortie médiatique qui fait actuellement les choux gras de la presse camerounaise.
Omari fait certainement cette sortie, en réponse à l’interview que le président de la CAF, Patrice Motsepe a accordée à la télévision France 24.

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Le Congolais est non seulement surpris par le caractère très pressé de la convocation de la CAF, lui demandant de venir devant une Cour alors que Eto’o enterrait son père; mais aussi par le fait que l’instance faîtière du football africain, n’a envoyé personne aux obsèques de père de Samuel Eto’o.

« Son père est mort il y a une année. J’étais dans son village. Là-bas c’est l’argile. Il m’a dit qu’il attendait la saison sèche. Il programme l’enterrement de son père. C’est pendant qu’il est en train de préparer l’enterrement de son père qu’on lui dit qu’il doit comparaitre devant la cour. Où se trouvait l’urgence ? J’étais à l’enterrement de son père. Quel est officier de la CAF qui était là ? Personne », a déclaré Constant Omari.

« On a lu une seule lettre de condoléances et j’en remercie le président Paul Biya pour cette marque, cette attention, cette affection envers Samuel. On a lu la lettre des condoléances du président Paul Biya. J’étais au premier plan. J’ai vu une grande gerbe de fleur pour monsieur et madame Biya. Je l’en remercie en que panafricaniste qui a été dirigeant de football. Chez moi au Congo, on dit que le deuil c’est l’événement auquel même ton ennemi peut venir et tu ne peux pas le chasser. Je n’ai vu personne. J’ai compris. La messe était dite, la mort est programmée. Pourquoi vous voulez empêcher Samuel de se battre afin que la guillotine ne puisse pas l’achever ? Voilà là où nous nous situons aujourd’hui », ajoute t-il.
Source: www.camerounweb.com

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