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Il y'a 10 moison
Hervé Renard, sélectionneur de l’équipe de France féminine, a accepté de revenir sur la séquence qui l’a vu être courtisé par la Côte d’Ivoire pour finir la CAN.
Une proposition impossible à refuser
« Quand vous avez le président de la Fédération, le Premier ministre du pays qui vous le demandent, je n’avais pas le droit de dire non », explique-t-il. « Impossible.
Déjà, je n’aurais jamais parlé si Jean-Louis Gasset avait été en poste, c’est une première chose. Et dès le départ, j’ai dit au président de la Fédération : ‘Je veux bien mais il n’est pas question que je quitte les Bleues donc vous demandez à mes dirigeants s’ils acceptent que je puisse faire les deux.’ C’était non négociable. »
Une ligne rouge non négociable
Hervé Renard a donc posé une condition sine qua non à sa participation à la CAN : rester sélectionneur de l’équipe de France féminine. Une condition qui n’a pas été acceptée par la FFF.
« Je comprends que ça ait pu choquer, mais je ne vois pas en quoi ça aurait été incompatible », estime-t-il. « J’ai déjà vécu une situation similaire en Zambie. Le président de ma Fédération m’a demandé d’aider pour un match retour de Coupe de la confédération. On a mis en place des plans et on a gagné. C’est une simple anecdote, mais il faut arrêter de se fixer des limites. »
Une page déjà tournée
Hervé Renard assure avoir tourné la page de cette histoire. « Je suis très attaché à cette équipe et on connaît notre objectif : les JO », déclare-t-il. « On va se régaler. »
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