Côte d’Ivoire : Le mari de Roseline Layo décide de monter au créneau et décide de sévir face aux attaques contre sa femme

Le mari de Roseline Layo ne va plus laisser passer les remarques désobligeantes à l’égard de son épouse. Il a décidé désormais de sévir en prenant des dispositions judiciaires.

Les comparaisons artistiques entre Roseline Layo et Josey continuent toujours d’alimenter les conversations sur les réseaux sociaux. Elles se sont encore enflammées après le concert respectifs des deux artistes le samedi 4 mai et le vendredi 10 mai dernier au Casino de Paris. Malgré la réussite des deux spectacles des deux chanteuses ivoiriennes, les internautes en ont cure.

Mais, Roseline Layo et Josey font fi de tout cela et affichent une solidarité sans pareil. Chacune était présente au concert de l’autre pour apporter son soutien. Avant cela, l’interprète de la chanson ‘’Môgô Fariman’’, est allée soutenir son aînée pour sa release party de son nouvel album où elle a même indiqué la respecter. Toutefois, le mari de Roseline Layo veut monter au créneau contre les insultes contre son épouse.

David Gnahou alias Chewe ne compte plus rester silencieux et va sévir juridiquement. De ce fait, il s’est adressé dans une publication à tous ceux qui vont désormais faire des remarques déplacées à sa femme sur la toile. ‘’Faites bien. On ne vous interdira jamais de faire une comparaison saine. Car chacun ici a son avis, ses goûts et ses choix.

Mais aller jusqu’à insulter, vous allez chacun prendre votre tasse de convocation. Là, je ne parle plus en tant que manager, mais plutôt en tant qu’époux. Parce que mes neveux et enfants aussi sont ici sur la toile’’, dit-il. Et de préciser : ‘’Ça suffit avec les injures et le dénigrement envers leur mère. Jamais je ne vais descendre dans la boue, mais sachez que je vois toutes vos publications.

Une injure de plus à son endroit juste à cause du bonheur qu’elle procure à ses fans et vous allez voir que l’exemple d’Observateur Ébène n’est rien devant ce qui va vous arriver. Insultez, dénigrez. J’observe !’’.