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Il y'a 11 heureson
Les réseaux sociaux sont un outil puissant, mais entre de mauvaises mains, ils peuvent briser des réputations et des rêves.
C’est le cas de Dame BBM, jeune entrepreneure ivoirienne. Passionnée et déterminée, BBM lance son salon de coiffure spécialisé dans les dreadlocks. Avec des publications attractives, elle conquiert rapidement une large clientèle. Face à ce succès, elle décide de recruter le dénommé KSH comme assistant pour l’aider à organiser ses activités.
Tout se passe bien jusqu’à ce que les plaintes des clients commencent à affluer, pointant du doigt le travail de l’assistant. BBM, soucieuse de préserver sa réputation, lui accorde une chance de se rattraper avec une mise à pied temporaire.
Malheureusement, rien ne change. Elle se voit contrainte de mettre un terme définitif à leur collaboration.
Quelques semaines après, l’ex-assistant fait des critiques acerbes qui envahissent les réseaux sociaux, ternissant l’image de BBM et de son salon. Inquiète, elle saisit la Plateforme de Lutte Contre la Cybercriminalité (PLCC), une unité de l’ANSSI-CI (l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information (ANSSI) de Côte d’Ivoire.
Les investigations aboutissent à l’interpellation de l’ancien assistant. Ce dernier prétend qu’il ne faisait que partager son expérience professionnelle via TikTok, affirmant ne pas avoir cité BBM directement. Pourtant, les dégâts sont bien réels.
KSH devra répondre devant le parquet pour atteinte à l’honneur et à l’image par voie électronique.
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