Connect with us

A La Une

A Abidjan, un individu finit en prison après des messages violents répéter contre son ancien employeur

Publié

on

KBJ a été traduit devant la justice pour répondre de ses actes de menaces de mort et injures proférées à l’encontre de son ex-patron, via un système d’information.

L’histoire de Monsieur KK, directeur d’usine, illustre les graves conséquences d’actes de menace de mort et d’injures commis au moyen d’un système d’information. Harcelé pendant plusieurs mois par des appels et messages haineux, Monsieur KK a finalement porté plainte à la Plateforme de Lutte Contre la Cybercriminalité (PLCC).

Publicité

Monsieur KK a vécu un véritable calvaire. Après un premier appel anonyme comportant des menaces et injures, il a subi une série de messages haineux de la part de numéros inconnus. Ces messages, d’une violence verbale inouïe, l’ont profondément affecté.
L’enquête de la PLCC et du LCN
Face à cette situation intolérable, Monsieur KK a décidé de ne pas se laisser intimider et a porté plainte auprès de la PLCC. L’enquête menée en collaboration avec le Laboratoire de Criminalistique Numérique (LCN) a permis d’identifier l’auteur des menaces : KBJ, un ancien employé de la même structure que Monsieur KK.

Lors de son audition, KBJ a reconnu sans difficulté les faits qui lui étaient reprochés. Il a expliqué qu’il se sentait humilié par les réprimandes et critiques constantes de Monsieur KK, qu’il considérait comme injustifiées. Il a ajouté que Monsieur KK l’aurait traité d’incompétent jusqu’à la fin de son contrat, lui causant un traumatisme psychologique. C’est pour se « défouler » qu’il a envoyé ces messages haineux.

La PLCC rappelle que les menaces de mort et les injures commises par le biais d’un système d’information sont des infractions graves punies par la loi. Trop souvent, les auteurs de ces actes se croient anonymes et se permettent des comportements inadmissibles. Le cas de KBJ en est un exemple flagrant.

Publicité

Share via
Copy link
Powered by Social Snap