Le président de l’UDPCI Albert Mabri Toikeuse a été critiqué après avoir été reçu par le président Alassane Ouattara qui l’a invité à rejoindre le RHDP. Voici sa réponse à ses contradicteurs.
Juste après la lecture du communiqué final ayant sanctionné le bureau politique élargi au comité central de l’UDPCI, le 17 septembre 2022 à Man, le président dudit parti, Albert Mabri Toikeusse est sorti de son silence pour apporter une réplique à ses détracteurs.
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Il faut savoir que ces derniers voyaient d’un mauvais œil le retour de l’UDPCI au RHDP quand on sait les déclarations de l’ex-ministre d’Etat lors de la contestation de l’élection présidentielle d’octobre 2020. Le président Mabri a fait savoir à ses « opposants » que son parti, bien que retourné au RHDP, continuera de poursuivre la vision du général Robert Guéi, son fondateur.
Ceux qui ne connaissent pas nos militants peuvent épiloguer. Mais nous qui savons pourquoi nous sommes et qui nous sommes « Merci pour votre attachement aux valeurs communes. Merci de rester debout avec moi dans le souvenir de Robert Guéi et de tous nos martyrs. Merci de rester des militants et des militantes de l’UDPCI, le parti arc-en-ciel. (…) Merci de rester des enfants du rassemblement, ouverts, généreux, prêts au sacrifice pour la paix et pour le développement de la Côte d’Ivoire.
Ceux qui ne connaissent pas l’UDPCI peuvent jaser. Ceux qui ne connaissent pas nos militants peuvent épiloguer. Mais nous qui savons pourquoi nous sommes et qui nous sommes, nous savons où nous allons et nous nous donnons les moyens d’atteindre nos objectifs » a martelé le président Albert Mabri Toikeusse.
Le 2ème vice-président du RHDP Mabri Toikeusse sera aux côtés de la députée Mireille Guéi, fille de lex-chef de l’Etat
Outre le séminaire du vendredi et le bureau politique du samedi, l’UDPCI s’apprête à rendre un hommage distingué à son fondateur le président Robert Guéi, arraché à l’affection des siens dans la nuit du 18 au 19 septembre 2002 à Abidjan, lors de la tentative de coup d’Etat qui s’était muée en rébellion. A cet effet, une série d’activités est prévue à Biankouman (chef lieu de département), Kabakouman (village paternel de Robert Guéi) et Gouessessou (son village maternel).
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