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l’enquête sur la rébellion refait surface / le RHDP sort ses griffes/Thiam dans de sales draps

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À la Une de l’actualité en Côte d’Ivoire, l’affaire cybercriminalité de Thiam, l’enquête sur la rébellion et la réaction du RHDP suite à l’attitude de l’opposition.

Le président du PDCI-RDA “ Thiam dans de sales draps’’ selon le journal Abidjan 24, en raison de “la diffusion d’une conversation privée avec le ministre de la Justice, Sansan Kambilé”, ce qui le placerait “sous le coup de la loi ivoirienne sur la cybercriminalité”.

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« Selon l’article 31, la divulgation non autorisée de correspondances électroniques est passible d’un emprisonnement d’un à cinq ans et d’une amende d’un million de francs CFA. L’article 32 prévoit en outre des sanctions complémentaires, telles que l’interdiction d’exercer une fonction publique et la confiscation du matériel utilisé », écrit L’Avenir .

où en est-on avec l’enquête promise par Ouattara sur la rébellion ?

Exilé en France depuis plusieurs mois, Tidjane Thiam a récemment affirmé qu’une autorité ivoirienne a averti son frère, Augustin Thiam, membre du RHDP, qu’il serait arrêté « immédiatement » s’il remettait les pieds en Côte d’Ivoire, en raison d’un prétendu lien avec le Conseil national de transition (CNT) de 2020.

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Enquête sur la rébellion
À sa prise de pouvoir en 2011, le président Alassane Ouattara, avait promis une enquête sur la rébellion armée qui a endeuillé le pays . À deux mois de la présidentielle d’octobre 2025 pour laquelle le candidat du Rhdp veut briguer un 4e mandat, le journal Notre voie, remet au goût du jour, cette promesse « dont les résultats restent inconnus .» le journal titre : « Affaire le devoir transcende la parole donnée : où en est-on avec l’enquête promise par Ouattara sur la rébellion ?»

Le RHDP sort ses griffes
Ce Mercredi 20 août 2025, lors d’une conférence de presse à Abidjan, Kobenan Kouassi Adjoumani, porte-parole du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP), le parti au pouvoir a lancé une mise en garde ferme à l’encontre de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo et à ses alliés politiques.

« Nous prenons la parole pour dire que trop, c’est trop et qu’à un moment donné, à un moment donné, il va falloir que ça s’arrête », a lancé le ministre, pointant du doigt les revendications et les chants à caractère xénophobe qui ont eu lieu lors des récentes marche et meeting organisés par le PPA-CI et le PDCI-RDA, réuni au sein du Front commun.

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Selon lui, autoriser, ces manifestations ne doivent en aucun cas être interprétées comme un signe de faiblesse du pouvoir, mais plutôt comme la preuve d’une volonté d’ouverture et d’attachement à la démocratie. Plus autres points ont été abordés lors de cette rencontre à lire dans plusieurs journaux ce matin.

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